LES SUPPLÉMENTS D’HUILE DE POISSON NE SONT PAS
UNE MENACE POUR LE POISSON

FAITES D'EMBLÉE UN CHOIX ÉCOLOGIQUE EN CHOISISSANT LES
SUPPLÉMENTS D'HUILE DE POISSON SUPÉRIEURS DE WHC-NUTROGENICS.

L’huile de poisson que nous sélectionnons provient de poissons pêchés dans les eaux durablement gérées autour de l’Antarctique (dans l’océan Pacifique, au large des côtes du Chili et du Pérou). Nous n’acceptons que l’emploi d’espèces de poissons abondantes, pour lesquelles il existe de sévères quotas de pêche: de petites espèces de poisson, comme les anchois, les sardines et maquereaux. Ce sont des espèces moins menacées que le saumon ou le cabillaud. Un choix écologiquement justifié, et en même temps riche en acides gras oméga-3.

Toutes les graisses superflues qui ne sont pas utilisées dans les suppléments sont transformées en électricité pour la fabrication et le réseau public local.

WHC-Nutrogenics sélectionne uniquement des huiles de poisson oméga-3 purifiées à l’aide d’une technologie unique de production à froid, renforçant la démarche écologique qui est la sienne, depuis l’origine du poisson jusqu’à l’encre de l’emballage.

LA SURPÊCHE DIMINUERA SI NOUS CONSOMMONS MOINS DE VIANDE
INDUSTRIELLE ET ACHETONS MOINS D’ALIMENTS POUR ANIMAUX DE COMPAGNIE

moralisateurs pointent un doigt accusateur vers les suppléments alimentaires à base d’huile de poisson. Qu’en est-il? Moins d’1% de la pêche est transformé en huile de poisson, alors que les aliments pour le bétail, pour le poisson d’élevage et les animaux de compagnie en consomment 39 fois plus.

LES ACIDES GRAS OMÉGA-3 DE POISSON SONT INDISPENSABLES

C’est un fait incontournable: l’homme occidental présente dans son organisme une carence manifeste en acides gras oméga-3 EPA et DHA. Ce manque favorise le développement de toutes sortes d’affections, comme les maladies cardiovasculaires, les états dépressifs, le TDAH et les troubles rhumatismaux. A condition d’être de qualité irréprochable et obtenus de façon écologique, les suppléments d’huile de poisson sont indispensables comme sources d’EPA et de DHA à la prévention naturelle et à la prise en charge de troubles divers. D’ailleurs, des centaines d’études bien conduites le prouvent.


L’HUILE DE POISSON N’EST PAS LA CAUSE DE LA SURPÊCHE
Environ 1 million de tonnes de poisson sauvage de haute mer est pêché chaque année pour en extraire l’huile de poisson. C’est à peine 1% de la pêche totale. On estime en outre qu’en 2010, environ 88% de ce total sera utilisé pour alimenter le poisson d’élevage, de sorte qu’à peine 12% de ce seul pourcent, et donc 0,12% de la pêche globale, est destiné à l’huile de poisson pour suppléments alimentaires. Deux fois rien lorsque nous constatons que des rapports scientifiques indiquent que:

– 16,2 millions de tonnes de poisson sont sacrifiés pour la production de farine de poisson pour les porcs, les volailles et les bovins
– 5,4 millions de tonnes servent d’aliments pour chats, chiens et animaux à fourrure
– 18 millions de tonnes deviennent de la nourriture pour le poisson d’élevage

Il est dès lors évident que la surpêche pourrait surtout diminuer si l’homme consommait moins de viande industrielle et achetait moins d’aliments pour animaux domestiques

PAS D’ESPÈCES DE POISSON MENACÉES NI DE KRILL

La fabrication de suppléments d’huile de poisson de façon éthiquement justifiée, comme le fait WHC-Nutrogenics, assure en outre que seules des espèces non menacées de petits poissons de haute mer sont capturées, comme le maquereau et l’anchois. Donc pas de thon, qui se fait de plus en plus rare, ni de cabillaud, puisqu’il faut sacrifier trop de poisson pour obtenir suffisamment d’acides gras oméga-3. Ensuite, le krill n’est pas utilisé par un producteur d’huile de poisson éco-conscient. Ce petit crustacé est une source d’alimentation des baleines, des pingouins et des phoques. Depuis qu’on a constaté une forte baisse de la quantité de krill dans l’Antarctique à partir des années 1970, allant jusque 80% dans certaines régions, on considère que sa mise en oeuvre compromettrait encore plus l’écosystème de l’Antarctique.

Sources:
De Silva SS, Turchini GM. Towards understanding the impacts of the pet food industry on world fish and seafood supplies. J Agric Environ Ethics 2008; 21(5):459-467.
Alder J, Campbell B, Karpouzi V, Kaschner K, Pauly D. Forage fish: from ecosystems to markets. Annu Rev Environ Resour 2008; 33:153-66.
Campbell B, Alder J. Fishmeal and fish oil: production trade and consumption. 2006; p47-66 In: Alder J, Pauly D (eds.).
On the multiple uses of forage fish: from ecosystems to markets. Fisheries Centre Research Reports 14(3). Fisheries Centre, University of British Columbia (ISSN 1198-6727).